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    Adrien avait donc écouter Brooklyn. Il lui avait poser des questions concernant son petit ami, Noémie, si elle avait des ennemis... Apparemment, personne n'avait de raison de lui en vouloir. C'est ce que disait la jeune fille, et ses parents, et cela avait durer jusqu'à la tomber de la nuit. Noémie n'avait pas de petit copain, elle s'entendait bien avec ses parents et avait plutôt une bonne relation avec ses amis.

    Et pendant que l'inspecteur Bourgeois interrogeait la famille Simone, Coralie Anton criait, se débattait. Le verbe crier était peut-être d'ailleurs mal utilisé, puisque aucun son ne sortait de sa bouche. Elle ne savait pas où elle se trouvait, ni qui était la personne qui était en train de lui faire du mal. Elle ne savait plus trop qui elle était non plus. Elle ne se reconnaissait pas. La pire douleur n'était pas celle qu'elle avait ressenti quand on lui avait arraché les cheveux puis frappé au visage avec un pied de biche. Non. La pire douleur était juste devant ses yeux : un miroir. Elle se voyait mourir. Elle se voyait mourir, et ne comprenait pas pourquoi. Son assassin lui avait pourtant parlé, au début, quand il la tapait avec ses poings. Mais elle ne l'écoutait pas. Elle ne savait même pas comment tout ça avait débuter, elle était juste sur le chemin du retour, après son entraînement de hand.

    Coralie s'était pourtant répéter que cette personne allait juste la torturer puis la relâcher. Mais elle s'était maintenant fait une raison : elle ne rentrait plus jamais chez elle.


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